Agent de sécurité en intérim, Paul tombe sur une annonce qualifiée d’urgente. Il contacte donc le responsable de la mairie comme demandé pour prendre connaissance des conditions proposées, car le salaire indiqué est plutôt attractif. Par chance, il obtient un rendez-vous le jour même, comme quoi dans les mairies, il arrive que les fonctionnaires soient ultra réactifs.

• Notre gardien de stade est en maladie. Juste avant la coupe du monde, le stade doit être surveillé et entretenu. Comme votre CV est intéressant, si vous êtes disponible de suite, vous correspondez au profil recherché ! Lui explique le DRH de la mairie.

• En quoi consiste le travail et quel sont les horaires ? Demande Paul.

• Vous serez responsable de la sécurité puis de l'entretien des parties communes, de la sortie des poubelles et de la petite maintenance, changer des ampoules par exemple et éventuellement du chauffage. Vous devrez surveiller les bâtiments et les espaces communs ainsi que les équipements avec application des règles de sécurité car en ces périodes d’attentat c’est un impératif. Les horaires sont de 20 heures à 8 heures le matin avec une pause de 3 heures pendant la nuit. Ces horaires ne sont pas très agréables, c’est ce qui justifie le salaire proposé. Par contre, il vous est demandé de varier les horaires de vos pauses afin que d’éventuels vandales ou terroristes ne puissent être informés de vos horaires. Les heures supplémentaires sont évidement payées, vous aurez aussi accès aux matchs sans rien payer puisque ce sont des heures supplémentaires.

Deux mile euros plus les heures supplémentaires et l’accès aux matchs sont une véritable aubaine pour Paul. Si le gardien pouvait être malade longtemps, cela arrangerait bien ses finances défaillantes. Il accepte donc le poste. Devant l’urgence de la situation, lendemain, le contrat est signé, le responsable des sports est chargé de lui faire visiter les lieux et de lui remettre les clés ainsi que les numéros de téléphone d’urgence. Il lui précise également que si son chien fait ses besoins dans le stade, il doit évidement nettoyer.

Le soir même, Paul commence son inspection des lieux. Son Rottweiler, tenu en laisse et équipé de sa muselière, impressionne les sportifs venus s’entraîner. A 23 heures, après le départ des derniers adeptes du ballon rond, il ferme les grilles avant de lâcher son gros « caniche » appelé Charlie. Ce dernier ravi de pouvoir courir s’en donne à coeur joie pendant que Paul attaque son casse-croûte nocturne.

Adepte du selfbondage, il se souvient d’une vidéo qu’il a vu sur Fessestivites où un travesti s’était entravé entre les barres des buts. Cela éveille ses envies coquines. A défaut de rencontrer la Maîtresse de ses rêves, le selfbondage est un palliatif fort agréable. Lorsqu’il reprend sa tournée d’inspection, lors de sa visite des vestiaires un banc lui fait de « l’oeil ». « Hum, voilà un lieu pour s’attacher et se faire plaisir » pense Paul. Histoire de se distraire, pendant sa seconde pause vers 4 heures, il surfe sur Fessestivites pour lire des récits érotiques BDSM puis de selfbondage.

Après un self-service, pendant lequel il s’imagine, livré par sa Maîtresse à une équipe de foot en étant entravé dans les vestiaires..... Même s’il n’est pas gay, ce genre de fantasme anime des rêves érotiques. Qui n’en a pas ? Il s’est souvent demandé si il n’est pas, au fond de lui un bi ou gay refoulé par ses préjugés « culturel » en un seul mot. Histoire de jouer sur la frustration et l’excitation, Paul décide que le lendemain il viendrait travailler avec sa cage de chasteté.

Le lendemain soir, lorsqu’il reprend son travail, en inspectant les vestiaires, dans le tube de sa cage de chasteté, il se sent soudain très à l’étroit. Il se met nu et s’allonge sur le grand banc pour se caresser le sexe emprisonné puis les tétons, zone très érotique pour lui. Au comble de l’excitation, Paul décide de prendre le nécessaire pour cette envie qu’il ne pourra réaliser qu’ici. Et pour cause, les vestiaires des stades ne sont pas, en principe, des lieux où l’on peut être tranquille et à l’abris des regards.

Deux jours plus tard

La glacière contenant ses repas ne contient pas que de l’alimentaire. A l’intérieur il y a également la serrure de selbondage BDSM ou fétichismes 1 heure vendue par ABCplaisir. Il n’a pas osé prendre celle de deux heures ni la serrure magnétique pour selfbondage, fessée BDSM ou ABDL même si ce n’est pas l’envie qui lui manquait....

Son sac à dos ne contient pas que le nécessaire pour son Rottweiler et ses effets personnels. Lors d’une inspection, un agent de sécurité s’étonnerait d’y trouver des menottes et des entraves puis une cagoule d’isolation BDSM.

Le plug vibrant qu’il a pris le surprendrait aussi, par sa taille. Il faut dire que depuis qu’il s’imagine défoncé au gode ceinture par une Maîtresse, Paul a déjà bien joué avec son « arrière train ».

Après avoir enfermé Charlie histoire de ne pas inquiéter son Rottweiler et d’être tranquille, Paul se rend aux vestiaires avec ses petites affaires. Il installe un cousin de cuir au milieu du banc, ses bracelets de cheville, une s a n g l e pour s’obliger à rester fesses relevées et offertes. A la suite de quoi, il installe ses menottes et la serrure de selbondage BDSM ou fétichismes 1 heure.

Une fois ses jambes et chevilles entravées sous le banc, avec un peu de beurre à cul, de lubrifiant pardon, Paul comble ses petites fesses en savourant le passage de la partie la plus évasée. Aussi mis en route, le plug commence son travail de sape pour un soumis sous cage de chasteté. Deux pinces à sein trouvent leur place sur les tétons innocents.

Pour la dernière ligne droite, il enfile sa cagoule d’isolation BDSM puis ferme les menottes sur ses poignets. A partir là, il ne peut que subir les agréables vibrations du plug, frotter son sexe encagé sur le coussin de cuir. A chacun de ses mouvements, ses tétons lui rappellent qu’ils ont des pinces, générant ainsi une douleur agréable dans ces moments là.

Un quart d’heure plus tard, il est découvert par l’ancien gardien, soi-disant malade, venu en catimini voir s’il peut voler quelques bricoles dans les vestiaires, dont il détient un double des clés. Paul ne peut voir l’étonnement de ce dernier ni même qu’il apprécie de voir son petit cul comblé par un gros plug vibrant. A pas de velours, il étudie l’installation originale de son remplaçant. Pour un gay, cette vue est fort agréable et un jeune cul gourmant aussi !

Histoire de faire « connaissance » et pour profiter de l’aubaine, le vieux gardien, moche à faire fuir les putes et trav du bois, commence par s’amuser avec le plug. Dans ses délires érotiques et BDSM, Paul ne réagit pas immédiatement. Ce n’est que dix à quinze secondes plus tard qu’il comprend qu’il y a quelqu’un qui joue avec ses fesses. Par réflexe, il se met à ruer dans ses entraves, hélas, en vain. Pire que de jouer avec son sextoy, l’inconnu se met à lui donner une fessée, puisque tout cul tendu mérite son dû.

En proie à une crise d’angoisse, Paul ne goûte pas vraiment les sensations de cette fessée. Il a peur pour sa vie, peur pour son emploi et d’être la risée de la mairie. Lorsque l’inconnu retire son plug, l’angoisse monte d’un cran. Un doigt, suivi de plusieurs, entreprennent de jouer les spéléologues dans son anus bien offert même si il serre les fesses. Avec la dose de lubrifiant qu’il s’est mis pour se pluguer, serrer les fesses ne sert à rien.

Lorsqu’il sent que l’inconnu enjambe le banc, la respiration dans sa cagoule BDSM se fait de plus en plus difficile. Ses yeux, ouverts pour rien, se mettent à piquer tant il transpire de peur. C’est lorsque quelque chose de dur entreprend de se glisser entre ses fesses qu’il comprend qu’il va se faire baiser par un inconnu. Il prie aussitôt tous les dieux de la terre pour que le mec mette un préservatif et ne soit pas trop brutal. En effet, hormis des sextoys, certes de bonne taille, il est encore vierge de ce côté là de son anatomie.

L’ouverture ayant été préparée par le plug vibrant, la pénétration est beaucoup plus traumatisante psychologiquement que douloureuse. A défaut de Maîtresse équipée d’un gode ceinture, c’est une vraie bite qui entreprend de labourer son fondement. Au bout d’un moment, obligé de s’abandonner et d’attendre que cela se termine, Paul commence à éprouver des sensations pas désagréable du tout. En effet, à chaque coup de bite, sa cage de chasteté bute et frotte le coussin de cuir, les sensations sont donc des deux côtés de son anatomie. Elles sont également accompagnées par le balancement des pinces à sein ce qui recommence à être agréable.

Puisqu’il n’a pas le choix, Paul finit donc par s’abandonner à l’inconnu profitant de ses « conneries » pour le baiser. Lorsque le « sauvage » s’arrache de ses fesses après avoir joui, les contractions de son anus le surprennent. Si ce n’est pas la première fois qu’il jouit du cul, il s’étonne que cela puisse arriver dans ces conditions.

Histoire de finir en beauté, le Quasimodo du stade lui remet trop rapidement le plug dans les fesses sans précaution ce qui génère une sensation de déchirement. Quelques claques supplémentaires s’abattent sur ses fesses puis plus rien. Essoufflé et la tête baignant à présent dans sa transpiration, Paul ressent les picotements de l’après fessée dans son épiderme et beaucoup de honte. Ce n’est que quinze minutes plus tard que la serrure de selbondage BDSM libère ses menottes.

Le premier réflexe de Paul est d’arracher sa cagoule et d’essayer de voir qui lui a fait ça. Le Quasimodo étant parti sans demander son reste après son forfait, il ne peut qu’avoir honte. Sa honte augment quand il constate que sa bite a énormément coulé lorsqu’il s’est fait baiser. « C’est pas possible, je deviens pédé » se dit Paul totalement désabusé par cette expérience traumatisante.

Sans même profiter des douches, il se rhabille prestement, range son matériel avant d’aller libérer son chien pour essayer de trouver le coupable. En vain, ce dernier est introuvable. Le reste de sa nuit de travail est peuplé de questions, de regrets aussi d’avoir fait un selfbondage dans les vestiaires. Il a également peur d’avoir été contaminé par le sida. Avant même de rentrer chez lui, il va faire un test. Le pharmacien lui explique qu’il va devoir attendre trois mois pour réellement savoir si il a été contaminé.

Arrivé chez lui, il prend une longue douche et se lave les fesses longuement jusqu’au moment ou le cumulus rend l’âme. Après un café, Paul va se coucher et se rend compte qu’il porte toujours sa cage de chasteté. Il était tellement obnubilé par ses angoisses qu’il ne l’a même pas remarquée sous la douche, l’habitude de la porter sûrement. Que faire ? La garder trois mois en guise de réelle punition ou la retirer ? La vie reprend ses droits assez rapidement après avoir dormi. Au réveil, après un « dodo » agité, son sexe tente de pousser la cage et lui arrache presque les testicules. « Et zut, quitte à avoir le sida, autant se faire plaisir » dit Paul à haute voix.

Cette expérience traumatisante au départ le perturbe. Elle comptait de ses fantasmes, et, finalement n’a pas été si désagréable que ça. Paul commence à se demander si il n’est pas gay pour avoir pris du plaisir ainsi. Pour preuve son anus s’extasiait après qu’il ait été baisé.

EPILOGUE

Paul n’a pas été contaminé, Quasimodo n’avait pas le sida. Par contre, il ne fait plus de selfbondage dans les vestiaires, il y invite parfois un Maître gay lui faisant bien pire qu’un coup de bite dans les fesses.

Fin

TSM

Cette histoire est fictive, c’était une idée qui m’est venue comme ça pendant que je faisais les travaux du donjon du gîte fétichiste. Logique, je bricole et fabrique des accessoires pour que nos clients du gîte s’éclatent, comment voulez-vous que mon esprit de psychopathe n’ait pas de mauvaises idées ?

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

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